Sites du réseau de conservation marine pour la biorégion du plateau néo-écossais et de la baie de Fundy

Un plan du réseau de conservation marine a été créé pour la biorégion du plateau néo-écossais et de la baie de Fundy. Un plan de réseau de conservation marine a été créé pour la biorégion du plateau néo-écossais et de la baie de Fundy. Utilisez notre carte interactive ci-dessous pour explorer les sites existants et proposés qui composent le réseau de conservation.

Les commentaires seront pris en compte pour finaliser le plan du réseau de conservation marine pour la biorégion. Ce plan du réseau de conservation marine est un élément important de la planification spatiale marine dans la région et sera périodiquement mis à jour pour guider les travaux de conservation spatiale marin dans la région pour les années à venir.

Dans cette section

• Plan du réseau de conservation marine
• Légende
• Comment utiliser la carte
• Données
• Sites de conservation proposés
• Mise sur pied d'un réseau de conservation marine
• Activités dans les aires de conservation
• Contactez-nous pour obtenir de l'aide
• Informations associées

Plan du réseau de conservation marine

Cette carte montre les sites de conservation existants et proposés dans la biorégion, qui forment ensemble le plan du réseau de conservation marine. Les sites proposés du réseau de conservation sont organisés en deux niveaux :

• Les sites de niveau 1 constituent une priorité plus élevée pour la mise en œuvre et font partie des sites qui pourraient être retenus pour progresser vers l'étape suivante d'ici 2030. Ces sites ont une valeur de conservation élevée, basée sur la présence confirmée de caractéristiques écologiques clés. L'organisme fédéral responsable est indiqué pour tous les sites de niveau 1.
• Les sites de niveau 2 sont importants pour créer un réseau de conservation représentatif, mais leur progression vers l'étape suivante ne sera pas envisagée d'ici 2030. Ces sites nécessitent davantage de recherches et de données sur les caractéristiques écologiques et les utilisations humaines avant d'être mis en œuvre.

D'autres sites ont également été déterminés dans le cadre de la planification du réseau. Ils ne sont pas considérés comme faisant partie du plan du réseau de conservation pour le moment.

Légende

Les aires de conservation existantes ou proposées se trouvent dans les zones colorées. La carte montre :

• les sites existants, y compris les zones de protection marine (ZPM) et les refuges marins;
• les sites d'intérêt (SI);
• les sites proposés :
• les sites de conservation de niveau 1 et leur organisme responsable;
• les sites de conservation de niveau 2.

Sites de conservation proposés

Mise sur pied d'un réseau de conservation marine

Un réseau de conservation marine est constitué de nombreuses aires de conservation (AMP) individuelles, y compris des zones de protection marine (ZPM) et d'autres mesures de conservation efficaces par zone (AMCEZ). L'élaboration d'un plan de réseau biorégional bien conçu permettra de mieux protéger les espèces, les habitats et les écosystèmes marins. Les réseaux soutiennent la conservation à long terme, tout en réduisant au maximum l'impact sur les utilisateurs des océans. En savoir plus sur l’approche utilisée pour créer le plan du réseau de conservation marine.

Activités dans les aires de conservation

Chaque aire de conservation (ZPM ou AMCEZ) est unique. Les mesures de gestion dans chaque nouveau site dépendent des objectifs de conservation propres au site. Ceux-ci seront déterminés dans le cadre d’une procédure de mise sur pied distincte et d’une consultation approfondie supplémentaire.

En 2019, la Norme de protection des AMP a été élaborée afin de renforcer la cohérence et la clarté des activités interdites dans les AMP fédérales. La norme interdit l’exploration et l’exploitation pétrolières et gazières, l’exploitation minière, le déversement et le chalutage de fond dans toutes les nouvelles AMP fédérales. Les AMCEZ sont plus flexibles. Les activités sont évaluées au cas par cas afin de garantir une conservation efficace de la biodiversité.

Les activités à faible impact sont souvent compatibles avec les zones de protection marine (ZPM) et les autres mesures de conservation efficace par zone (AMCEZ). Par exemple, la pêche côtière durable à l’aide d’engins fixes (p. ex. le homard) et les activités d’écotourisme (p. ex. le kayak et l’observation des baleines) sont généralement autorisées dans les aires de conservation côtière. La pêche à des fins alimentaires, sociales et rituelles (ASR) pratiquée par les Premières Nations et les communautés autochtones est également généralement autorisée.

Contactez-nous pour obtenir de l'aide

Programme de planification et de conservation marine
Pêches et Océans Canada
MaritimesMPAs@dfo-mpo.gc.ca

Informations associées

• Réseau de conservation marine
• Zones de protection marine (ZPM)
• Refuges marins au Canada
• Planification spatiale marine