Sélection de la langue

Recherche

Document de Recherche 2000/012

The potential impact of seal and seabird predation on North American Atlantic salmon

Par Par D.K. Cairns et D.G. Reddin

Résumé

Ce document cherche à déterminer si la prédation par les phoques et par les oiseaux marins aurait pu causer le déclin majeur dans l'abondance pré-pêche du saumon de l'Atlantique Nord-Américain. Le taux de croissance du saumon durant sa phase marine était modélisé comme une série de courbes logistiques. Le nombre des saumons vivants étaient modélisé à l'aide d'une fonction de mortalité basée sur la taille corporelle, les estimés des saumoneaux qui sortaient des rivières, et l'abondance des adultes avant la pêche. La biomasse estimée des post-saumoneaux durant les années 1990 a augmenté de façon marquée durant l'été pour atteindre un maximum de 1,400-1,800 t tard en automne.

Les fenêtres de vulnérabilité à la prédation étaient considérées comme étant les périodes durant lesquelles les saumons étaient dans la même place que les phoques ou les oiseaux marins, et les saumons avaient une taille convenable aux prédateurs. Tous les phoques et tous les oiseaux marins considérés dans cette analyse consomment les proies de la taille d'un saumoneau. Les phoques consomment les saumons en phase marine de toute taille, mais les oiseaux marins sont limités aux petites proies, et les post-saumoneaux deviennent trop gros pour eux entre le mi-juin et l'automne, dépendant de l'espèce d'oiseau. Les fenêtres de vulnérabilité sont ouvertes à l'année longue pour les phoques communs et les phoques de Groenland. Elles sont ouvertes en printemps-été-automne pour les phoques gris et en hiver-printemps pour les phoques à capuchon. Les fenêtres de vulnérabilité aux oiseaux s'étendent de la sortie des rivières jusqu'au moment où les poissons sont trop gros à manger.

Malgré un grand effort d'échantillonage, les restants des saumons ont été trouvés seulement dans deux estomacs du phoque de Groenland, deux estomacs du phoque gris, un estomac du phoque commun, et un estomac d'une marmette commune dans le nord-ouest de l'Atlantique. Quatre autres records provenant des phoques gris auraient pu être originaires des poissons volés des filets.

L'impact potentiel de la prédation des phoques et les oiseaux marins était modélisé dans les scénarios dans lesquelles les prédateurs consomment les certains pourcentages de la biomasse de la proie. Si les phoques et les oiseaux marins enlèvent 100% d'une cohorte de post-saumoneaux, les post-saumoneaux constitueraient 0.04% de la diète des prédateurs. Le prédateur avec la plus grande consommation est le phoque de Groenland. Si ce prédateur consomme 100% d'une cohorte des post-saumoneaux, les post-saumoneaux seraient 0.09% de leur diète.

Les phoques et les oiseaux marins du nord-ouest de l'Atlantique pourraient récolter un fort pourcentage des saumons en phase marine, même si le saumon est rare dans leurs diètes. Étant donné que la population des phoques et de certaines espèces d'oiseaux marins sont en état de croissance, il est plausible que la prédation par les phoques et par les oiseaux marins aurait pu causer le déclin des saumons au stade pré-pêche. Pourtant, l'information présentement disponible est insuffisante pour déterminer si ceci est le cas.

Avis d’accessibilité

Ce document est disponible en format PDF. Si le document suivant ne vous est pas accessible, veuillez communiquer avec le Secrétariat pour l’obtenir sous une autre forme (par exemple un imprimé ordinaire, en gros caractères, en braille ou un document audio).

Date de modification :