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Lignes directrices sur la génétique concernant l’élevage en captivité et la propagation d’espèces de moules d’eau douce en péril

Au moyen du Fonds des partenariats, Pêches et Océans Canada (MPO) a affecté le montant de 138 961 $ sur trois ans à la recherche menée sur cette espèce à risque par David Zanatta, Ph.D. Au cours de la décennie écoulée, nous avons fait de grands pas dans la compréhension des facteurs génétiques relatifs à l’élevage en captivité d’espèces de moules d’eau douce en péril et dans la connaissance de la structure et de la diversité génétiques des moules. Cette étude vise à obtenir des données empiriques essentielles pour orienter l’effort de propagation, en comparant la diversité génétique d’une population sauvage à une population d’animaux élevés en captivité.

Les données génétiques seront analysées, et les populations sauvages et élevées en captivité seront comparées. Deux documents sur les résultats de la comparaison de la diversité génétique des populations de moules sauvages et élevées en captivité seront rédigés en parallèle et présentés à une revue à comité de lecture (p. ex. Conservation Genetics). Un document de suivi faisant état de conclusions plus générales sur des lignes directrices relatives à la gestion génétique associée à la propagation des moules en captivité sera également rédigé et soumis à une revue à comité de lecture.

Numéro du projet : CA2016.50
Années : 2017, 2018, 2019
Partenaires : Central Michigan University, Biology Department, Institute for Great Lakes Research
Chercheur principal : David Zanatta (Ph D.)
Écorégion : Grands Lacs

Juvéniles de lampsilis fasciola de six mois de la station de pisciculture de White Lake du ministère des Richesses naturelles et des Forêts de l'Ontario (photo: ministère des Richesses naturelles et des Forêts).
Juvéniles de lampsilis fasciola de six mois de la station de pisciculture de White Lake du ministère des Richesses naturelles et des Forêts de l'Ontario (photo: ministère des Richesses naturelles et des Forêts).

Juvéniles de lampsilis fasciola de six mois de la station de pisciculture de White Lake du ministère des Richesses naturelles et des Forêts de l'Ontario (photo: ministère des Richesses naturelles et des Forêts).

Au microscope: comptage de larves de lampsile fasciolée (glochidies) utilisées pour la multiplication.

Au microscope: comptage de larves de lampsile fasciolée (glochidies) utilisées pour la multiplication.

L’achigan à petite bouche est le poisson hôte des larves parasites (glochidies) de la lampsile fasciolée. Une fois que les glochidies se sont fixées aux ouïes du poisson, nous attendons 5 à 6 semaines pour que les moules juvéniles métamorphisées déposent le poisson.

L’achigan à petite bouche est le poisson hôte des larves parasites (glochidies) de la lampsile fasciolée. Une fois que les glochidies se sont fixées aux ouïes du poisson, nous attendons 5 à 6 semaines pour que les moules juvéniles métamorphisées déposent le poisson.

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