Que se passe-t-il avec les crevettes?

Une figure en trois panneaux montrant comment différents facteurs de stress des écosystèmes touchent les espèces de crevettes dans les océans Pacifique, Arctique et Atlantique. Dans le Pacifique, les populations de crevettes sont généralement en baisse. Les trois principales espèces sont la crevette océanique, la crevette nordique et la crevette à flancs rayés, et elles sont touchées par le réchauffement de l'eau et l'augmentation du nombre de prédateurs. En 2016, les prises de crevettes ont été de 2 900 tonnes; en 2017, elles ont été de 300 tonnes. Dans l'Arctique, il existe deux espèces principales, la crevette nordique et la crevette ésope, et la tendance générale pour la crevette est stable. La prise de crevette ésope en 2018-2019 a été de 13 000 tonnes. Pour l'Atlantique, l'espèce principale est la crevette nordique, qui est en déclin depuis le milieu des années 2000. Les facteurs de stress pour les crevettes sont le réchauffement des eaux et l'augmentation du nombre de prédateurs. En 2018, les prises de crevettes nordiques se sont élevées à 62 759 tonnes.

Texte

Que se passe-t-il avec les crevettes?

Les crevettes sont une espèce fourragère essentielle pour de nombreuses espèces à des niveaux plus élevés de la chaîne alimentaire. Le Canada exporte plus de crevettes d'eau froide que tout autre pays au monde.

Pacifique

La pêche à la crevette rose lisse du Pacifique est en déclin, avec des prises en baisse de 90 % entre 2016 et 2017.

• Crevettes roses lisses
• Crevettes roses épineuses
• Crevette à flancs rayés

2016 : 2 900 tonnes

2017 : 300 tonnes

Agents de stress – Réchauffement de l'eau, plus de prédateurs

Arctique

Les populations de crevettes arctiques peuvent varier, mais sont globalement stables

• Crevette nordique
• Crevettes rayées

Prise de crevettes rayées 2018-2019 : 13 000 tonnes

Atlantique

Depuis le milieu des années 2000, les crevettes nordiques ont diminué dans la plupart des régions en raison de multiples agents de stress

• Crevette nordique

Prise de 2018 : 62 759 tonnes

Agents de stress – Réchauffement de l'eau, plus de prédateurs