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Document de recherche 2005/032

Évaluation de la sensibilité de l’habitat marin : une étude de cas sur la zostère marine (Zostera marina L.) et des laminaires (Laminaria, Macrocystis)

Par Vandermeulen, H.

Résumé

La définition de « sensibilité de l’habitat » utilisée ici est la même que le CIEM (2002). « La sensibilité de l’habitat peut être définie en terme du degré et de la durée des dommages causés par un facteur externe identifié. La sensibilité peut avoir trait à la fragilité structurelle de l’habitat entier en relation avec l’impact physique ou à l’intolérance des espèces individuelles constituant l’habitat à des facteurs environnementaux, comme l’exposition, les fluctuations de la salinité ou les variations de température (traduction libre). » L’objet de ce document de recherche est de quantifier la « sensibilité » de quelques macrophytes marins (zostère marine et laminaires) à divers facteurs chimiques, biologiques et physiques. Les seuils auxquels ces plantes marines commencent à montrer des signes de stress sont présentés sous forme de tableaux.

Les gisements de zostère marine et de laminaires sont des habitats sensibles, alors que la zostère marine est plus sensible que les laminaires. D’autres études doivent être menées pour aider à définir précisément la sensibilité des laminaires.

Les pratiques actuelles d’élevage de poissons en cage au Canada peuvent avoir des incidences nuisibles sur la zostère marine et les laminaires (la zostère en particulier). Un modèle « zonal » est présenté pour aider à orienter les recherches futures sur ce sujet.

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